Tuesday, September 30, 2014

Perturbation de la démocratie : Jean ping va organiser un coup d’Etat au Gabon?


Selon des sources très fiable , Jean Ping avait été contacté par des militaires envoyés par Denis Sassou Nguesso pour organiser un coup d’Etat au Gabon

Il y en a qui veulent en découdre au Gabon vaille que vaille Il fait venir des cargaisons d’armes au profit des certains opposant (entre autre) .Il est toujours dans lrsquo;obsession du coup drsquo;état à la nigérienne Depuis Brazzaville, il est dans la surenchère permanente il manigance avec certains membre du pouvoir Gabonais et une partie de opposition Gabonaise pour mettre à terre Ali Bongo.
 Des Gabonais de Paris s’efforçaient, samedi 27 Septembre 2014 après midi, de trouver un terme correct pour décrire l’attitude de l’opposant Jean Ping qui après avoir traité le président gabonais, Ali Bongo Ondimba de « fou » a déclaré, lors de la rentrée annuelle de la Convention de la Diaspora Gabonaise (CDG), qu’il a été « contacté par des militaires gabonais et étranger pour organiser un coup d’Etat au Gabon »
Des gabonais de Paris s’efforçaient, samedi 27 Septembre 2014 après midi, de trouver un terme correct pour décrire l’attitude de l’opposant Jean Ping qui après avoir traité le président gabonais, Ali Bongo Ondimba de « fou » a déclaré, lors de la rentrée annuelle de la Convention de la Diaspora Gabonaise (CDG), qu’il a été « contacté par des militaires gabonais et étranger pour organiser un coup d’Etat au Gabon »
« Partout où je passe, tout le monde ne veut pas de demi-Dieu. Il y a même des militaires qui sont venus me voir pour me dire, on va finir avec lui. J’ai dit non. Un coup d’Etat pour moi ce n’est pas la meilleure solution », a déclaré l’opposant Jean Ping moins bavard sur les noms, les grades et les corps de ces militaires. 
L’opposant du régime de Libreville, favorable plutôt à un « soulèvement populaire en cas de holdup électoral en 2016 pour faire partir Ali Bongo Ondimba du pouvoir héréditaire », a tenté d’apaiser l’assistance acquise à sa cause.

« Pour avoir été président de la Commission de l’Union Africaine, j’ai empêché plusieurs coups d’Etat en Afrique et je sais aussi comment les faire aboutir », a lancé Jean Ping dans un style teinté d’humour.
On rappelle que l’Afrique est le continent qui détient le record des coups d’Etat au monde. Après les indépendances, les conflits sociopolitiques nés de la création des Etats postcoloniaux a engendré l’immixtion fréquente des armées nationales dans le jeu politique au prétexte que les militaires sont les seuls garants de l’unité et de la stabilité en période de crise. Il y a aussi la tentation du pouvoir et par conséquent des privilèges et des honneurs qui vont avec.
Mais au Gabon, il y a ni vacance de pouvoir et ni crise. Il y a juste un président qui a été élu démocratiquement en 2009 et dont la victoire a été saluée par la Communauté nationale et internationale et même par l’ex président de la Commission de l’UA. 

 la source de URL :http://brazza-news.com/gabon-denis-sassou-nguesso-aurait-contacte-jean-ping-organiser-coup-detat-au-gabon/
 


  

L'Etat gabonais transfère sa participation dans COMILOG à la Société Equatoriale des Mines.

Libreville, le 29 septembre 2014 - La Société Equatoriale des Mines (SEM) obtient la gestion de la participation de l'Etat gabonais (28,45%) dans la Compagnie Minière de l'Ogooué (COMILOG), filiale d'ERAMET. Le transfert de ces parts qui est en ligne avec le Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE) renforce le partenariat entre le Gabon et le groupe français.                                                                                                
 
CLGabon

En ligne avec le Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE) et la création de la Société Equatoriale des Mines (SEM), l'Etat gabonais a transféré à la SEM, la totalité de la participation de 28,45% qu'il détient dans la Compagnie Minière de l'Ogooué (COMILOG), filiale du groupe français Eramet.

« Cette décision cadre avec la stratégie définie par le Président de la République, Chef de l'État, inscrite dans le PSGE et réaffirmée au cours du dernier Forum National de l'Industrie, visant à rendre le secteur minier plus dynamique. La SEM, structure placée sous la tutelle technique du Ministère des Mines, assurera désormais la gestion des participations de l'État dans le secteur. Cette nouvelle configuration permet au Ministère de mieux se concentrer sur ses principales missions de définition de la politique minière, d'octroi de titres miniers, de promotion, de régulation et de contrôle du secteur minier ainsi que la mise en œuvre de la stratégie de transformation de ressources minérales. » indique le Ministre des Mines, de l'Industrie et du Tourisme, Monsieur Régis Immongault.
La SEM est une société anonyme détenue à 100% par l'Etat gabonais. Le PSGE lui confère des missions opérationnelles qui incluent, entre autres, la détention et la gestion, au nom et pour le compte de l'Etat, de sa participation dans les sociétés minières et l'exploitation de titres miniers, seule ou en partenariat avec d'autres opérateurs.
Cette réorganisation a pour but de renforcer la position de l'Etat, à travers la SEM, comme le partenaire stratégique des compagnies minières dans le développement du secteur minier gabonais. L'objectif est que la contribution de ce dernier au PIB du pays soit à long terme, égale à celle des hydrocarbures. Pour l'année 2013, leurs contributions étaient de 6% et 46% respectivement.
Il s'agit d'un objectif défini dans le cadre de la Stratégie Nationale d'Industrialisation du Gabon (SNI) qui planifie la diversification économique du pays. La SNI émane du PSGE qui s'appuie sur trois piliers dont le « Gabon Industriel ».
Le transfert de ces parts marque une nouvelle étape dans le partenariat ancien entre l'Etat gabonais et Eramet. « COMILOG est un exemple de succès de partenariat public-privé dans un secteur hautement stratégique. L'objectif pour la SEM est de contribuer encore plus activement au développement des activités de COMILOG. Le transfert de la participation de l'Etat engage la SEM à remplir ses missions définies dans le cadre du Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE). » affirme le Directeur Général de la SEM, Monsieur Fabrice Nze-Bekale.
COMILOG a démarré en août dernier les opérations du Complexe Métallurgique de Moanda. Ce projet dont le coût est de 150 milliards de francs FCFA (U$ 300millions) est constitué de deux usines. Une usine pyro-métallurgique de silico-manganèse d'une capacité de production de 65 000 tonnes par an est déjà opérationnelle. Une seconde usine hydro-métallurgique qui entrera en activité en octobre 2014, produira 20 000 tonnes de métal-manganèse par an.
Le démarrage des activités du Complexe Métallurgique de Moanda a nécessité la construction par l'Etat gabonais du barrage hydro-électrique de Grand Poubara pour un coût de 200 milliards de francs FCFA (U$ 400 millions).
Un autre aspect important du partenariat entre l'Etat gabonais et Eramet concerne la construction au travers d'un partenariat public-privé de l'Ecole des Mines et de Métallurgie de Moanda pour répondre à la demande de main d'œuvre qualifiée de l'industrie. L'établissement qui ouvrira en 2016 permettra de former des techniciens supérieurs et des ingénieurs.




L’un des plus grands ponts d’Afrique : Fonds Routier

Le Fonds Routier, au regard des missions prioritaires qui lui sont confiées, s’affirme comme un partenaire stratégique du développement socioéconomique du pays. La modernisation du réseau routier national, qu’il est en charge d’assurer,est un des socles de la politique ambitieuse d’envol économique menée par le gouvernement.

Fonds Routier : Gabon



Financer les routes et les infrastructures qui vont accompagner le développement: c’est la mission qui est confiée au Fonds Routier du Gabon. Un enjeu capital dont dépendent la diversification et l’essor de l’économie du pays.



Monday, September 29, 2014


Audiences  le Président Ali Bongo Ondimba et Mr David BarronAudiences  le Président Ali Bongo Ondimba et Mr Mark Dybul
Le Président américain Barack Obama prononçant son discours à l'ONU
Le Président prononçant son discours à la Clinton Global Initiative
Le Président prononçant son discours au Sommet sur le climat à l'ONU
Mme Clinton remerciant le Président après son discours à la Clinton Global Initiative
SYLVIA BONGO ONDIMBA ONU














Friday, September 26, 2014

ALI BONGO ONDIMBA DEVANT L’ASSEMBLEE DES NATIONS UNIES



New York, le 25septembre 2014 –A la tribune de la 69ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies, Ali BONGO ONDIMBAs’est exprimé sur les thèmes du développement du Gabon, du renforcement de la bonne gouvernance, les conflits qui sévissent sur le continent et au-delà et enfin sur la fièvre hémorragique Ebola.

 
Concilier diversification et développement
Devant l’assemblée générale, le président de la République s’estréjouique les priorités africaines, à savoir : l’éradication de l’extrême pauvreté, la promotion d’une agriculture durable, l’industrialisation et la protection de l’environnement figurent en bonne place dans le rapport adopté par l’Assemblée générale sur les Objectifs de Développement Durable (ODD).
Il a notamment rappelé que le Gabon est lancé depuis 2009 dans la mise en œuvre de ces objectifs.  Les ambitionssont affichées et en phase avec l’agenda post-2015 : diminuer, d’ici à 2025, plus de la  moitié des émissions de gaz à effet de serre produit par chaque Gabonais, et consentir à des efforts particuliers dans les domaines de l’éducation et la formation pour renforcer l’employabilité.   Aussi le développement de l’agriculture, de l’élevage, de la pêche et la pisciculturepermettra d’assurer une sécurité alimentaire durable.
Renforcement de la bonne gouvernance
« Il est notoire que tous ces efforts ne peuvent véritablement prospérer que dans un environnement politique, économique et social où règne la bonne gouvernance » a lancé Ali BONGO ONDIMBA. Aussi a-t-il rappelé que le Gabon fait de la lutte contre la corruption une priorité et s’est doté d’instruments institutionnels tels que la Commission Nationale de Lutte contre l’Enrichissement Illicite dont la missionest de « garantir  la transparence et l’obligation de reddition dans la gestion des deniers publics ».

Pour la paix et la sécurité
Soucieux des bonnes relations avec les pays voisins, Ali BONGO ONDIMBA s’est félicité des avancées vers la résolution des conflits en République centrafricaine, au Mali, au Sahara occidental et au Sud Soudan.Il a par ailleurs demandé la levée de l’embargo contre Cuba après avoir formuléle vœu de voir la trêve entre l’Etat d’Israël et le Hamas mener vers la création d’un Etat palestinien « existant en bonne intelligence aux côtés d’Israël, dans la paix et la sécurité ».
Face à la menace sans cesse grandissante que représentent BokoHaram et l’Etat islamiste, le président de la République appelle à une action concertée et coordonnée de la communauté internationale. « Mon pays réitère son soutien aux efforts internationaux ainsi menés et réaffirme sa ferme condamnation des actes terroristes sous toutes ses formes et manifestations », a-t-il conclu.

Mobilisation générale contre Ebola
Lors du Débat général et pendant la réunion de Haut Niveau sur la lutte contre le Virus Ebola, Ali BONGO ONDIMBA propose de mettre à disposition le Centre International de Recherche Médicale de Franceville (CIRMF) dirigé par le Dr. Eric LEROY, spécialiste des maladies virales émergentes.
La menace que pose Ebola étant globale, les ripostes nationales devraient être relayées par une mobilisation générale au niveau planétaire. 

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Source: www.presidentalibongo.com/